Echinacea : on peut le dire !

echinacea flowers

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Ce n’est bien entendu pas de diction qu’il s’agit, car chacun parviendra sans trop de difficultés à prononcer le nom de ce produit,  emprunté à celui de la bien belle fleur dont il est issu. Non, ce que l’on peut désormais dire ou écrire concerne la finalité de cette préparation : elle agit favorablement sur le système immunitaire, en préventif avant l’hiver, ou lorsqu’un événement survient à la suite d’un refroidissement de type rhume ou grippe, afin que les premières manifestations ne dégénèrent pas en affections plus ennuyeuses.

Fresh plant processing.

Si on peut le dire, ce n’est pas parce que le Laboratoire Bioforce aurait mis au point une nouvelle formulation « qui change tout », selon les règles pernicieuses du business propre à la santé. Cette plante est connue pour son efficacité depuis des siècles – nous y reviendrons – et rien de révolutionnaire n’a récemment été mis en place pour en optimiser les bienfaits. Ce qui est nouveau, c’est la qualité des études qui viennent d’être réalisées pour prouver l’activité antivirale de l’échinacée, tout comme son indéniable action contre les récidives et complications des rhumes ou grippes (pneumonie, bronchite, amygdalite, pharyngite, otite moyenne, sinusite, mais aussi conjonctivite). Aucune médication, naturelle ou pas, n’a précédemment été l’objet d’études mettant en évidence une telle qualité de résultats.

Mechanical harvest of Echinacea purpurea (Sevdail Memeti)Ce sont parmi les plus grands spécialistes mondiaux en la matière qui ont travaillé sur l’échinacée : professeurs de médecine respiratoire, directeurs de recherche, chercheurs*, et leurs conclusions ne laissent pas le moindre doute non seulement  quant à l’efficacité de cette plante, mais aussi quant à sa supériorité sur le traitement médicamenteux de référence pour des indications similaires, études en double aveugle à l’appui. Voilà qui constitue donc une première dans nos milieux où de nombreuses plantes ne peuvent accéder au rang de soin officiel, faute d’études de haut niveau apportant l’irréfutable preuve.

Nos lecteurs seront intéressés d’en savoir un peu plus sur l’échinacée, et sur la manière dont Bioforce la cultive puis la travaille. Voici l’histoire.

CaptureAlfred Vogel était un naturopathe suisse dont nous avons récemment rappelé le parcours, empreint d’une grande bienveillance et de véritables découvertes. A l’occasion d’un de ses nombreux voyages, il a noué une relation amicale avec un chef indien du Dakota du Sud, Elan Noir. En évoquant leur passion commune pour la nature et plus précisément les plantes curatives, Elan Noir lui fit part du respect tout particulier qu’il avait pour l’une d’elle, l’échinacée. Cette plante ayant sauvé bien des vies avait pour lui un caractère sacré. Il s’avère en effet qu’elle pouvait guérir les morsures de serpents, comme les maladies de l’hiver. Elan Noir en donna quelques graines à Alfred Vogel, que celui-ci se fit une joie de cultiver chez lui, en Suisse. Il commença par observer les facultés d’adaptation de la plante, pendant plusieurs années. Puis il éprouva son efficacité sur lui-même à l‘occasion d’une blessure, avec succès. Ce fut le début d’une belle histoire entre le Laboratoire Bioforce d’Alfred Vogel et l’Echinacea, qui devint son produit majeur. Le savoir-faire qui résulta des nombreuses recherches entreprises pour comprendre et optimiser les bienfaits de l’échinacée est de ce fait à la hauteur de sa réputation : seule la meilleure variété est sélectionnée ; elle est cultivée en Suisse, en agriculture biologique ; ce sont les fleurs fraîches de l’Echinacée qui sont travaillées immédiatement après avoir été récoltées à la meilleure période. Pour réaliser le produit fini, Echinaforce®, elles sont complétées par un faible pourcentage de racine fraîche de la même plante, garant d’une meilleure efficacité.

echinacea

Echinacea peut s’utiliser en préventif ou dès les premiers symptômes, sur des périodes qui vont de 10 jours à quatre mois pour les personnes sujettes à récidives.

JM