Les huiles d’onagre et de bourrache

Ces deux huiles peuvent rendre de grands services :
• lors de troubles liés à des modifications hormonales chez la femme
• pour certains problèmes articulaires
• en prévention, dans le domaine cardio-vasculaire.

Onagre, bourrache : l’une ou l’autre, l’une plus que l’autre, l’une avec l’autre ? Petite revue des spécificités de chacunes.

De jolies petites fleurs…

onagreL’onagre est originaire d’Amérique du Nord. Les Indiens l’utilisaient en cataplasme pour soulager les blessures, ou en infusion, pour calmer la toux.
La fleur fut involontairement importée en Angleterre (dans les soutes des bateaux) au XVIIIe siècle, avant de se propager en Europe où on la trouve depuis en bordure des routes et chemins, des voies ferrées… Ce n’est que récemment qu’on a compris l’utilité que pouvait avoir l’huile que l’on presse à partir de ses graines, cueillies à maturité.
Afin d’obtenir la meilleure qualité possible, le laboratoire qui produit l’huile que nous distribuons n’achète pas ces graines mais utilise celles qui proviennent de ses propres plantations, majoritairement implantées en Asie.

bourracheLa bourrache provient probablement d’Afrique du Nord. Elle serait arrivée en Europe par l’Espagne. Elle est traditionnellement utilisée depuis longtemps : la fameuse école de Salerne, au moyen âge, l’associait à cette formule : « Je soulage le cœur, j’enfante la gaieté ». Des indications euphorisantes qui ne semblent plus être reconnues aujourd’hui,puisqu’on lui prête plûtot des vertus diurétiques, sudorifique, dépuratives.
Mais comme l’onagre, ce sont ses graines, dont on tire également une huile, qui lui valent sa renommée actuelle.

Usage externe

Onagre et bourrache sont certainement les huiles les plus bénéfiques pour les peaux fatiguées. Attention toutefois : ces huiles sont fragiles, l’air ou la lumière pouvant les dégrader. Les capsules, a priori réservées à un usage interne, s’avèrent pourtant être parfaitement adaptées à un usage externe : elles constituent le meilleur moyen de bien les conserver en les mettant à l’abri de toutes dégradations, tout en permettant de disposer chaque jour de la dose nécessaire. Il suffit de percer une capsule avec une épingle et d’appliquer l’huile qui s’en écoule par de légers massages sur la peau.

Usage interne

Les lipides jouent un rôle primordial dans la structuration cellulaire. Pour que l’organisme puisse correctement synthétiser ces lipides, il est nécessaire d’ingérer des acides gras dits « essentiels ». Parmi eux, les rares « acide oléique » et « acide gamma-linoléique », que l’on trouve précisément dans les huiles d’onagre et de bourrache. Ces deux acides gras essentiels seront d’autant plus utiles que la synthèse des acides gras se fait moins bien avec l’âge, ce qui occasionne quelques petits désordres dans l’organisme

L’huile d’onagre et de bourrache sont particulièrement indiquées par voie interne pour revitaliser les peaux sèches, qui perdent en souplesse, et pour redonner du tonus aux ongles cassants, aux cheveux. Certaines femmes en tirent bénéfice en cas de bouffée de chaleur et leur consommation semble être une bonne indication pour prévenir l’ostéoporose. En cas de douleurs liées aux cycles menstruels – notamment de tensions mammaires – ces deux huiles ont des résultats probants.

L’huile d’onagre et de bourrache ne sont que des compléments alimentaires. Elles sont toutefois souvent utilisées dans un contexte médical. Voici quelques utilisations fréquentes que nous indiquons à titre d’information, seul un médecin pouvant juger si le recours à ces huiles est opportun : il s’agit des maladies auto-immunes comme la polyarthrite rhumatoïde et la sclérose en plaque. Huiles d’onagre et de bourrache sont également utilisées pour faire baisser le taux de cholestérol et prévenir des maladies qu’il peut induire.

Onagre ou bourrache ?

Faut-il préférer l’onagre ou la bourrache ? Peu d’auteurs se risquent à trancher. De manière générale, on utilise l’onagre dans de plus nombreux cas que la bourrache, souvent réservée aux problèmes de peau. Peut-être est-ce parce que cette dernière est plus chère, ou qu’elle a donné lieu à moins d’études publiées à ce jour ? Si la bourrache contient moins d’acide linoléique que l’onagre, elle contient pourtant plus d’acide gamma-linolénique et nombre de femmes en tirent des bénéfices accrus pour limiter les désagréments liés aux fluctuations hormonales.

C’est en fait l’expérience de chacune qui permettra le meilleur choix possible. Pour les indécises, il existe également un mélange bourrache-onagre, en des quantités équivalentes.

Quant à la posologie, elle est généralement de trois capsules de 500 mg par jour. Il est souvent conseillé de persévérer au moins six mois en cas de douleurs menstruelles.

La qualité

Pendant de nombreuses années, on a trouvé sur le marché des huiles d’onagre et de bourrache dont la qualité était exécrable, notamment à cause d’un taux de peroxydes élevé (signe d’une dégradation à l’oxygène). Les huiles que nous vous proposons bénéficient d’analyses pointues qui garantissent une qualité optimale. GPH diffusion est la première société à proposer des huiles d’onagre et de bourrache bio en capsules d’origine marine, avec garantie Ecocert.

JM